Depuis qu’il a rejoint l’AOI en 1998, Madagascar n’a presque plus de secrets pour Christophe Herran.
Pour La Lettre de l’Ordre, il a accepté d’évoquer les conditions et la richesse de son expérience. Il précise comment, ici comme ailleurs, l’AOI s’inscrit dans une démarche d’aide au développement avec un rôle d’appui et de conseil et souligne les conditions de pérennisation des actions.
Pour en savoir plus, téléchargez l’entretien paru dans La Lettre n° 127